Podcast-4 idées recues sur l'alimentation

4 idées reçues sur l’alimentation

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Dans ce nouvel épisode, on va parler d’alimentation et notamment d’idées reçues à ce sujet.

Bien entendu, tout au long de cet épisode, je ne vais parler que des personnes qui n’ont pas de problème de santé important ou de troubles de l’alimentation sévères.

Je ne parlerai volontairement pas non plus de minceur. L’idée est de se sentir équilibrée et apaisée et d’être bien dans sa tête et dans son corps et pas de répondre à des critères et d’attente totalement subjectif qui vont davantage créer de la culpabilité et de la pression que de l’acceptation et du bien-être.

Pourquoi avoir une relation saine avec son alimentation est important ?

Manger est essentiel à notre survie, à notre santé, à notre confort et pour beaucoup d’entre nous à notre plaisir. Alors que le fait de s’alimenter est un phénomène naturel, nous avons, pour certains d’entre nous, perdu le contact avec notre corps et sa capacité à réclamer selon ses besoins physiologiques. Nous créons donc des règles, suivons des injonctions en oubliant d’écouter nos besoins naturels.

Dans ma formation Objectif Equilibre, je vous apporte les clés pour retrouver cette écoute, réapprendre à suivre ses sensations et retrouver une alimentation naturelle et intuitive.. On aborde également les thèmes de l’activité physique, du sommeil et du stress afin de retrouver une hygiène de vie globale plus apaisée.

4 idées reçues sur l’alimentation

Pour revenir à l’alimentation, je vous propose aujourd’hui de parler de 4 idées reçues très partagées.

1 – Certains aliments font grossir

Ah les fameux aliments qui font grossir ! On parle souvent des féculents, oléagineux, des produits sucrés ou gras. Premier scoop : aucun aliment ne fait grossir. Les aliments ont une valeur énergétique certes différente (les fameuses calories) mais nous avons besoin de ces calories donc cela ne veut rien dire qu’ils fassent grossir. Nous avons besoin de sucre, de gras et ce qui fait grossir c’est quand on va manger plus que nos besoins énergétiques. Encore une fois, tout est une question de quantités adaptées à nos besoins individuels.

2 – Je dois éviter “les craquages”

Ce qu’on appelle “craquage” se rapproche beaucoup des fameux aliments “diaboliques” dont on vient de parler. Sauf que la notion de craquage est souvent liée au plaisir. En effet, à force de s’empêcher de manger certains aliments que nous aimons, nous allons ressentir de la frustration, notre plaisir ne va pas être comblé et donc nous allons à nouveau être déconnecté de nos sensations, et manger sans faim et souvent même sans plaisir car la culpabilité prendra rapidement le dessus. En sortant de toutes ces règles et en mangeant ce que notre corps nous réclame, en prenant plaisir à manger des aliments qui nous plaisent, plus besoin de se ruer sur la nourriture par frustration.

3 – Il faut compter les calories

Les calories, ce sont donc les valeurs énergétiques des aliments. Et notre corps a besoin d’un certain nombre de calories pour fonctionner correctement. Notre alimentation doit donc répondre à ces besoins. Sauf qu’il est très difficile de calculer les besoins énergétiques d’un individu. Il y a des moyennes selon notre âge, notre sexe, notre poids et notre taille, notre activité physique mais ce ne sont que des moyennes et à cela s’ajoute des facteurs beaucoup plus complexes comme notre métabolisme, notre constitution, notre patrimoine génétique etc.

Impossible donc de savoir exactement ce dont on a besoin. Mais si l’on apprend à écouter les signaux que notre corps nous envoie, cela n’est absolument pas nécessaire. Nous nous alimentons quand notre corps réclame de l’énergie.

4 – Il ne faut jamais sauter de repas

Là encore, c’est une idée reçue qui a la vie dure. 

Ici bien entendu, on ne parle pas de sauter un repas parce qu’on nous a dit qu’il ne fallait pas manger à tel moment de la journée ou parce qu’on considère avoir abusé au repas précédent. Aucun intérêt à cela à part le risque encore une fois de s’affamer, de se frustrer et donc de dérégler encore plus la connexion à nos besoins. Par contre, tout cela est aussi inintéressant et néfaste que de se forcer à manger alors qu’on n’a pas faim. Si la faim n’est pas présente c’est que notre corps n’a pas besoin d’énergie immédiatement. On peut donc se proposer d’attendre que la faim apparaisse (dans la mesure du possible et de notre organisation).

Si ce sujet vous intéresse et que vous avez besoin d’aide pour comprendre comment retrouver cette connexion et renouer avec une alimentation et une hygiène de vie apaisée, je vous encourage à vous rendre sur la page de présentation d’Objectif Equilibre et envoyez-moi toutes vos questions sur Instagram ou via le formulaire de contact de mon site internet.

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Vous pouvez également vous inscrire sur la liste d’attente d’Objectif Sérénité, mon futur programme d’auto-coaching pour gagner en confiance et en sérénité et être averti(e) de sa sortie.

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